« Lorsque les femmes lascivement s’assirent sur les marches de la place,dans la chaleur normale de cette terre antique et ancestrale…et que, sans autre artifice que leurs corps au repos elles se mirent à chantonner et discuter, accompagnées d’une légère brise saline, fidèle amie… le temps s’arrêta. Le soleil brûlant d’été, comme toujours est, dansait avec elles, et dans un dessin parfait s’amusait à projeter l’ombre de leur corps sur le sol dallé de ces marches qui mènent au paradis des senteurs d’oranger et de thym.Puis, soudain, elles se levèrent pour rejoindre la mer. »
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